• POINT G

    POINT GTexte écrit et interprété sur la musique d'une chanson de Michel Sardou...

     

    Toucher du doigt tes vingt ans, cinquante ans,

    Te faire crier dix fois ne m'est plus important.

    Si j'dis non, si j'hésite, si j'attends,

    Quand tes ardeurs m'invitent à prendre du bon temps.

    J'ai trouvé le point G, celui qui t'fait vibrer,

    Sans ramoner des heures le conduit intérieur de ta grande cheminée,

    Il suffit d'un bouquet, juste devant posé...

     

    Toucher du doigt tes nichons pour de bon,

    Te faire crier cent fois dans la simulation;

    T'aurais pu, t'aurais du certainement

    Ne pas m'tendre ton cul, on avait tout le temps.

    J'ai trouvé le point G sans te déshabiller, sans me faire chier des heures,

    A décroiser ton coeur d'un sous-tif convoité;

    J'ai trouvé le point G sans ta peau caresser, même si j'en crève des heures,

    Laissant de préférence ta beauté me charmer,

    Et t'offrir quelques fleurs pour t'emplir de bonheur...

     

    Toucher du doigt tes vingt ans, cinquante ans,

    Te faire crier dix fois me semblait important.

    J'aurais pu, j'aurais du simplement,

    Pour que tu n'm'oublies pas, te les offrir avant.....


  • Commentaires

    1
    fafa
    Samedi 13 Mai 2017 à 11:02
    fafa

    bravo jean mi,toujours aussi belle voix et que de belles paroles ,belle imagination 

    bisoussssyescoolcool

    2
    Dimanche 14 Mai 2017 à 15:42
    Es tu là ?
    Je passe parfois. Chez Chilpéric, il publie, mais pas de réponse.
    Je passe écouter, demain, là mon petit téléphone ne sait pas faire. Yann
    3
    Vendredi 19 Mai 2017 à 04:41

    Que c'est bon de te réentendre... Je constate avec bonheur que tu as relevé le rideau. Ta voix me manquait. Je t'embrasse étymologiquement.

     

    4
    Samedi 27 Mai 2017 à 20:26

    Pourquoi tant de haine et de silence? Si je t'ai fait du mal, sache que ce n'était ni conscient ni voulu. Tu fais partie de mon panthéon, des plus anciens parmi ceux qui me déshabillaient le mieux. Je ne peux pas imaginer que tu m'aies définitivement rayé de ta vie. Mais je fais preuve peut-être de naïveté : je pleure toujours quand j'écoute la chanson que tu m'as dédiée, magnifique, dans laquelle tu dis ton mal-être et ton incompréhension de moi. Ce texte faisait suite à celui que j'avais écrit pour toi. Aujourd'hui, je le revendique haut et fort, je n'en changerai pas une virgule. Tu me manques. Si ton orgueil et ton machisme vont au-delà du moindre dialogue entre toi et moi, alors je ne t'écrierai plus, tu n'entendras plus parler de moi. Quel dommage, nous avions tant de points an commun. J'aurais aimé t'envoyer "On dit", mais je n'ai pas trouvé la solution. Fais-moi un signe, fût-il négatif.

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